LA DECLARATION Nouvel album du duo SONJ (Gwenaël KERLEO & Yann CREPIN)

« La Déclaration », le nouvel album du duo SONJ, un voyage onirique et cinématographique. C’est le 8ème album de Gwenaël KERLEO.

GKerleo« La Déclaration » est un album de compositions originales et c’est, avant tout, le fruit d’une vraie rencontre entre deux musiciens. Ils nous offrent ici un dialogue entre une harpe et un piano en totale harmonie, nous entrainant vers des espaces sonores qui rappellent l’univers onirique d’un Yann Tiersen ou de Ludovico Einaudi.

En duo cette fois-ci avec Yann CREPIN, Gwenaël KERLEO nous revient avec une nouvelle création qui est une réussite. SONJ nous entraîne ici sur des chemins sereins, dans des espaces d’ouverture et de tranquillité. A l’écoute, on perçoit en filigrane comme un nouveau printemps, une renaissance, un éveil, un passage obligé vers la lumière. Un vrai Beltan sonore en quelque sorte… On chemine, on explore, on vagabonde, attentifs et ouverts. On avance en toute quiétude aux rythmes lumineux d’une harpe et d’un piano en totale harmonie. Les notes se superposent sans jamais pour autant se confondre. Les images apparaissent, on flâne, se laisse porter, on se faufile, paisibles… Il y a une complémentarité évidente.artistes

Yann Crépin, flûtiste issu du conservatoire de Rennes, professeur de Lettres à la Sorbonne, devient, avec des rencontres comme Yann Tiersen, Yvan Cassar, Vanessa Wagner, Véronique Le Gen assidu de la scène bretonne.

La harpe devient son centre d’inspiration, où il ouvre des perspectives de musique adaptées pour le théâtre et le cinéma. Notamment avec la rencontre avec Mélanie Leray.

Si l’on pouvait se douter que Gwenael KERLEO, en bonne fée des monts d’Arrée, changerait le son mélodieux de sa harpe en pierres précieuses… Sa complicité avec le pianiste-flûtiste Yann Crépin est une immense révélation. Les compositions de Gwenael scintillent du début des Murmures d’une nuit d’été à la Transe armoricaine, dans une suite indissociable. Dès lors, quand le uilleann pipe de Kevin Camus et les percussions d’Yvon Molard transcendent l’ultime morceau, la sensation de déjà fini est l’argument imparable d’une pleine réussite (article presse).

https://www.youtube.com/watch?v=3oL3ec5v0zc

Après avoir vécu ses deux premières années de sa vie en Côte d’Ivoire, Gwenael KERLEO vit à Brest. Elle découvre le son de la harpe celtique grâce aux albums d’Alan Stivell mais aussi de la kora par de nombreux albums rapportées d’Afrique.

Elle démarre l’apprentissage de l’instrument à l’âge de 9 ans.
En 1996, après des études au Conservatoire de Brest, elle enregistre son premier album Terre Celte, inspiré par la mer. De la rencontre avec des musiciens de jazz naît son deuxième album, Chemin de brume, où elle compose tous les morceaux avec une large place aux improvisations. Elle puise sont inspiration dans l’atmosphère des lieux où elle vit (la vallée de l’Aulne, la forêt du Cranou). Son troisième album Yelen la fait connaître hors de France, et elle fera des concerts à travers toute l’Europe (Italie, Suisse, Allemagne, Hongrie, jusqu’en Russie où elle est invitée régulièrement)

Nourrie d’airs traditionnels de Bretagne et d’Irlande, Gwenael KERLEO a choisi le chemin de la création. Depuis bientôt vingt ans, elle berce les spectateurs de ses compositions chaleureuses, les transportant dans un univers bien à elle.

La jeune femme aborde la création d’une façon très instinctive, se laissant guider par ses émotions. Elle recherche simplement les plus belles sonorités, celles qui touchent au plus profond et les offre comme des secrets à ceux qui viennent l’écouter.

Il y a chez Gwenael KERLEO, un intervalle entre les notes, un temps de latence ouvert sur l’imaginaire, une façon d’attaquer la corde qu’on ne voit et n’entend nulle part ailleurs. Elle vous entraîne alors dans des espaces sonores et visuels que vous n’auriez jamais exploré tout seul, dans des méditations paysagères, dans une tranquillité profonde qui vous apaise.